C’est en septembre 2016 que je parlais pour la première fois de Cyclocosmia.
Près de 8 ans sont passés, et entre temps a été publié un EP intermédiaire, « Immured ». Pour compenser l’attente depuis l’EP, un album massif de 84 minutes est proposé à l’écoute et à l’achat. Oui, j’ai bien dit 82 minutes pour 16 pistes. Ce qui fait une moyenne de 5 minutes par piste. L’album s’intitule « ...And We Will Move The Stars ».
Dès le premier titre, on retrouve le métal symphonique du premier album, ou encore avec les pistes « Bread And Circuses », « Nero », « Redde Legiones », « Home », « Ophidia ».
Mais on trouve aussi des influences de doom metal, avec les pistes « Idriss », « Harihara », « Dikalosyne »,
Il y a des influences metal progressif dans des pistes comme « Lockstep », « Madimi » et « Temple Of The Spider Prince ». Sans oublier des influences au metal industriel avec des pistes comme « Restrained », « Entropy ».
La dernière piste est une longue ballade acoustique qui tranche avec les guitares lourdes du reste de l’album.
C’est un album complet, complexe, du moins à la première écoute. Une chose est sûre, on n’est pas noyé par la lassitude, vu les changements de style, sans oublier une liste de personnes invitées sur les différentes pistes qui est assez longue, dixit la page bandcamp de l’album.