Les Rotters Damn, c’est un groupe de folk-rock originaire de Mayenne dont j’avais parlé du deuxième EP, « Objections » en juillet 2015. Dommage que les liens de l’article soient cassés. Mais c’est la vie 🙂
Étant abonné aux nouveautés du groupe via Bandcamp, j’ai appris en ce 14 avril la sortie de leur premier album long, « But my friend you know that I think I love you ». Oui, ça fait un titre assez long 🙂
Note : Je tiens à préciser en introduction qu’au moment où je rédige cet article, le 14 avril 2017, je n’ai pas encore acheté l’album en question. Mais il est dans ma liste de souhaits, ce qui est bon signe pour la suite 🙂
Note 2 : je l’ai acheté par la suite… Et il est allé rejoindre son camarade dans ma collection 🙂
On retrouve la voix du chanteur qui fait penser à celle de Tom Waits tout en restant dans le registre humain. On retrouve cette folk rock progressive qui m’avait accroché l’oreille avec leur précédent EP. Cependant, les pistes sont plus courtes, car on a droit à 8 pistes pour une trentaine de minutes.
On est dans des titres puissants dès le départ. J’avoue que si je devais juger l’album sur la pochette, j’aurai passé mon chemin.
La première piste « Horses » est puissante, lourde. On peut lui rajouter des pistes comme « Night & Day », « Calexicoco » (menée au pas de charge), « Peaks & Valleys »
On a droit à des ballades folk-rock plus légères comme « Dig », « We won’t Fall » (même si celle-ci finit crescendo), « Down The Line » (qui est aussi à la moitié en anglais et moitié en français), qui contraste et apporte un peu de variété à l’album.
L’album se conclue sur la ballade multi-vocale « But My Friend ».
Comme je l’ai précisé en introduction de l’article, il va falloir que je caresse ma carte bleue dans le sens du poil de la puce, car c’est vraiment un album qui va se retrouver dans ma collection.