J’ai été contacté il y a environ un mois par Philippe Saimbert qui m’a proposé de découvrir son deuxième roman, « Il faut marier Bertrand« .
J’ai donc lu ce livre avec un peu de retard, toutes mes excuses à l’auteur mais ma liste d’attente sur ma Kindle (oui, je sais, la Kindle ça pue, c’est pas libre… Allez donc vous raser, messieurs les barbus, vous allez marcher sur vos poils faciaux) était longue.
Je dois dire qu’en trois jours, la lecture était finie. C’est une comédie à l’humour parfois potache, mais qui dépeint bien l’ambiance d’un cercle de quadras, plus ou moins célibataires, plus ou moins fêtard, plus ou moins déjantés, dirigé par le grand chef du groupe, Philippe. Le tout se passant dans le Béarn, connu pour sa gastronomie généreuse…
Entre le musicien de punk hardcore, le tenancier de magasin de jouets pour adulte qui travaille aussi à mi-temps dans un salon de coiffure, le professeur dépressif, le chef du groupe qui est agent de caisse dans une banque, la vie n’est pas un long fleuve tranquille. Et encore, je n’ai cité que les principaux membres de la confrérie en question.
Surtout quand ils se mettent le défi de marier coûte que coûte le membre le plus fleur bleue de leur cercle, Bertrand, garagiste de son état. Et c’est pas gagné d’avance. Surtout avec le cerbère de la promise, un cocker vicieux du nom de Victor.
Le roman se lit facilement, qui vise trop juste sur certains plans, mais toujours avec des références assez culturelle, et une nostalgie des années 1980 qui transparait de temps à autres.
C’est donc une très bonne surprise que j’ai eu. Encore merci à Philippe Saimbert de m’avoir contacté. Son autre roman, « L’héritage de Tata Lucie » sera sur ma liste de bouquins à acheter très bientôt… Je veux d’abord liquider ma liste en attente qui a tendance à s’allonger un peu trop 🙂