La première fois que j’ai dépassé la semaine d’utilisation d’un linux en mono-boot, cela remonte à 2003 avec la MandrakeLinux 9.1, car c’était l’une des rares à l’époque à permettre l’utilisation sans grande prise de tête de l’infame modem Speedtouch USB aussi connue sous le surnom de « raie manta ».
A l’époque, j’étais resté 4 mois, jusqu’à ce que mon Athlon XP1800+ de l’époque ne rende l’âme. Il avait fallu que j’attende la sortie de la Fedora Core 2 (mai 2004) pour avoir une nouvelle version utilisable. Je restais deux mois avec, puis après une période windowsienne forcée (soupir !), je revins avec l’arrivée de la version 4.0 de Fedora.
Arriva une année de MacOS-X avec un MacMini première génération. Enfin, plus récemment, une Fedora 6, rapidement ejectée pour une OpenSuSE 10.1, durant une dizaine de jours, et enfin, ma période ubuntienne : 6.06 LTS, 6.10, 7.04 et 7.10.
N’ayant quitté ubuntu qu’aux alentours de Noël, jetter un oeil serait inutile. Je vais donc dans une série de billet jetter un oeil aux dernières versions stables – en 64 bits – de Mandriva, OpenSuSE et Fedora. Chacune fera l’objet d’un billet distinct.
Et non, ce ne sera pas du distro-bashing 😉