« Le dernier restaurant avant la fin du monde »…

J’ai fini il y a quelques jours le deuxième volume de la trilogie en cinq volumes de Douglas Adams.

Autant le premier volume m’avait enchanté, autant celui-ci m’a laissé un peu sur ma faim.

Il est vrai qu’on rit beaucoup dans ce volume, mais la loufoquerie est parfois un peu excessive. Il est vrai que la poésie vogonne vaut son pesant de torture, et que la bureaucratie des Golganfricheux vaut largement « La maison qui rend fou » du film « Les douzes travaux d’Astérix ».

Marvin est toujours autant dépressif, Zaphod toujours autant déjanté. Il est vrai que le Restaurant est un bonheur de loufoquerie.

Si je donnais un 19/20 au premier volume, celui-ci aurait seulement un petit 15/20.

J’ai reçu le troisième volume aujourd’hui, et j’espère que le niveau sera aussi bon que le premier volume.