Planet-X2, un bilan après une vingtaine de jours de jeu :)

Avant tout, je tiens à préciser que c’est le dernier article sur la série des jeux développés par David Murray. Car j’ai presque fini la totalité des cartes du « papa » de Planet-X3. Il ne manque à l’appel – à tarte – que les cartes « Three Islands » et « Spots » qui sont parmi les plus dures qui existent.

Cet article est la suite d’un article posté le 4 juillet 2020.

Sur la plupart des cartes, c’est du « on lance des tanks le plus vite possible » pour détruire les bases ennemies. C’est un peu une attaque de type « force brute », mais c’est souvent la meilleure méthode pour mettre la pâtée aux Protoids, surtout que toutes les cartes, à l’exception de « Dust World » un peu plus pourvu en bases, ont 3 bases à éliminer 🙂

Cependant, il y a certaines cartes qui sont plus stratégiques, comme « Ryver Styx » où j’ai mis plus de 12 minutes à gagner la partie. Ce qui est déjà pas si mal, quand on se souvient que l’on a pas certaines facilités de Planet X3 comme la possibilité de sauvegarder une partie en cours !

La partie dure assez longtemps, car 2 des 3 bases sont au-delà des branches de la rivière. Ce qui n’aide pas.

Quel bilan au final ? C’est un jeu qui est quand même assez bien fini, surtout avec les limitations techniques en terme de mémoire vive du Commodore 64. Je n’ai pas eu le plaisir de lancer le jeu sur un vrai Commodore 64, et d’ailleurs, vu l’âge du matériel, le fait qu’il faudrait que je m’équipe d’un Commodore 64, d’un lecteur de disquette 1541 ou 1541-II ou d’une extension SD2IEC, ça fait un sacré budget. Donc autant dire que je me contenterai de Vice qui fait très bien le travail.

Au final, Planet-X2 est un excellent titre, un peu plus dur que son descendant, mais qui ne demande pas une destruction totale des bases, juste de la pyramide centrale 🙂

Idéal pour s’occuper une longue soirée d’été quand il fait trop chaud pour mettre le nez dehors !