En 1996, Dead Can Dance sortait son excellent « Spiritchaser ». Tribal, chaud, il était au bout du cycle entamé quelques années plus tôt par « Into The Labyrinth ».
En 1998, le duo sort « The Lotus Eaters » qui ne sera disponible que sur la compilation « Wake ».
Il faudra attendre 2012 pour que sorte « Anastasis » qui renouera à l’époque avec les ambiances collant plus au début du groupe. J’avais pu voir le groupe à l’occasion de la tournée mondiale liée à la sortie de cet album, à Nîmes en 2013.
La première impression que j’ai eu en écoutant l’album « Dionysus » qui est un hommage à l’histoire du dieu grec Dionysos. Les deux pistes qui sont deux actes s’écoutent sans aucun problème, même si le premier est entièrement instrumental.
Il faut attendre le début du deuxième acte pour entendre les voix chantées de Brendan Perry et de Lisa Gerrard pour retrouver le grand Dead Can Dance. L’album est assez court, ne faisant que 36 minutes au compteur, mais il est inutile de se perdre dans des albums plus long qui finissent par tirer sur la corde.
J’ai dû l’écouter trois fois pour vraiment commencer à l’apprécier, comme tous les albums du groupe. Est-ce mon opus préféré ? Pas vraiment. Mais il se place dans les bons albums, loin d’opus plus faible comme « The Serpent’s Egg » par exemple.
Pour finir, le clip officiel du morceau qui introduit le deuxième acte, « The Mountain ».
Bonne écoute !
Merci pour le partage, belle découverte 🙂