J’ai souvent fustigé la bonne grosse mouise au parfum prononcé commerciale que nous vendent à prix d’or les majors : Stefani Joanne Angelina Germanotta, Justin Bieber, Jean-Philippe Smet pour ne citer que les trois premiers qui me viennent à l’esprit.
Cependant, vu mes (dé)goûts musicaux variés (qui vont des Pink Floyd à Nine Inch Nails, de Miles Davis à Michel Sardou, de Vangelis à Mike Oldfield, des Beatles aux Black Sabbath), je peux me permettre d’aimer certains artistes que des personnes qui se disent avoir de bons goûts musicaux déclare être de l’excrément de bique.
Parmi les artistes dont j’ai parfois honte d’apprécier, il y a un certain Jean-Michel Jarre, compositeur ayant aidé à la démocratisation de la musique électronique en France. C’est pour moi, avec Vangelis, Roger Subirana et Zero Project, un des grands noms de la musique électronique européenne.
Un de mes albums préférés de Jean-Michel Jarre (dont j’apprécie énormément la période 1976 – 1990), c’est l’étrange « Zoolook ». C’est surement l’album le plus difficile à aborder de ce compositeur, mais c’est aussi le premier album où il utilise des instruments classique et des voix comme musique.
Le morceau de choix de l’album est « Ethnicolor », dont la version jouée à Lyon en 1986 est « la meilleure » jamais proposée.
Maintenant, comme disait feu mon grand-père : tous les goûts sont dans la nature, la merde est bonne pour tous !