C’est un peu « noël avant l’heure ». Voici les cinq dernières découvertes que j’ai faite musicalement. En commençant par les découvertes aidées par Dogmazic :
Vous aimez les ambiances lourdes, nostalgiques, pesantes, spirituelles ? Alors, écoutez sans plus tarder « Les arbres n’étaient plus comme ceux d’hier » de Semper Eadem. Un « vieil » album (sorti en 1998) chez feu « La Cadera » devenu La Manufacture de Bruit.
L’album est disponible chez « Le Domaine Sans Nom« .
Toujours dans le domaine des ambiances éthérées, je ne saurais trop vous conseiller l’album « Searching for life » de Talemore, disponible chez MixGalaxy.
Et si on parlait un peu des découvertes aidées par Auboutdufil ?
Dans le domaine de la folk acoustique, je demande Emily Lund. Avec son EP éponyme, on découvre une folk acoustique (piano, guitare sèche, et harmonica) agréable. sans céphallocapture. 16 minutes de dépaysements. On peut écouter et récupérer l’album en question chez aaahh-records.
Toujours chez aaahh-records, le duo « The Wind Whistles » avec leur album « Animals are people Too » offre une pop sucrée, acoustique et enjouée. Cela me fait un peu penser au style de « Belle and Sebastian« , groupe écossais que j’ai appris à découvrir grace à une collègue, parfois on pourrait penser à « The XX » ou encore aux Beatles de l’époque « Help ». Le tout emporté par 13 morceaux d’environ deux à 3 minutes. Le tout pour 34 minutes de musique.
Pour finir, on va aborder de la musique de Monokle. Musique électronique, d’un duo russe (comme quoi en Russie, il n’y a pas que le gaz naturel, la vodka et les politiques aimant museler la presse), mais aussi des compositeurs qui savent créer des titres de musique électronique matinée de piano, de cordes, reposante, planante, bref, le pied intégral 😉
L’album « Tesaurus » de Monokle est disponible sur le site du netlabel iD.eology.
Voila, c’est tout pour aujourd’hui, mais je pense qu’à ce rythme, un ou deux nouveaux billets seront disponibles d’ici la fin de l’année… Car la musique libre est d’une richesse incroyable… qui lm’étonne toujours…