Mise en pause du blog…

Ben ouais, j’ai pas de mal de bouquins en retard à me lire. Dans le désordre et non exhaustif :

  • Fareinheit 451 – Ray Bradbury
  • 99 Francs – Frédéric Beigbeder
  • L’infini dans la paume de la main – Matthieu Ricard / Trinh Xuan Thuan
  • Les aigles foudroyés – Frédéric Mitterand
  • La planète des singes – Pierre Boulle
  • Des souris et des hommes – John Steinbeck

Bref, de quoi occuper 15 bons jours pour récupérer un retard accumulé depuis quelques années 😛

Prochain billet ? Vers la fin août.

Bonne quinzaine 😉

Disponibilité du premier « maintenance pack » pour (K/X/Ed)Ubuntu 6.06 LTS.

A l’image des services packs pour les logiciels microsoft, c’est le principe de cette version d’Ubuntu 6.06. Quoi de neuf dans les réjouissances ?

  • Gnome 2.14.3 (qui pèsent dans les 150 Mo à rapatrier !)
  • Pas mal de bugs dans l’installateur graphique (surtout au niveau du partionnement de disques)
  • Des traductions plus à jour
  • Un nouveau noyau, plus sûr
  • Firefox 1.5.0.5 bis (le 1.5.0.6 officiel) au lieu de Firefox 1.5.0.3
  • Le canal « Dapper-Commercial » ajouté sans manipulation complémentaire
  • Une nouvelle version de Cupsys, logiciel qui gère l’impression
  • Et encore plein d’autre chose.

Si vous avez installé une Ubuntu 6.06 LTS et que celle-ci est maintenue à jour (via l’outil de mis à jour où le duo apt-get update / apt-get dist-upgrade), alors, vous avez déjà la version 6.06.1 LTS. Sinon, vous pouvez télécharger des images ISO par exemple sur ce site miroir : http://fr.releases.ubuntu.com/6.06.1/.

Le but avoué de cette version ? Proposer une version qui demande moins de téléchargement après l’installation, et simplifier la vie de l’utilisateur en cas de réinstallation. D’ailleurs, le service d’envoi gratuit « Ship-it » enverra dès maintenant des CD pressés de la version 6.06.1 LTS.

Note du 11 août 2006 à 10h07 : j’ai modifié le titre suite au premier commentaire.

Faudrait pas fouiller dans les vieux bouquins ;)

Le mois d’août est une période où je bouquine énormément, histoire de rattraper mon retard sur le reste de l’année. Fouillant pour trouver de quoi lire, je suis tombé sur une antiquité : « Le Système Linux – 2ième édition » (1997), alors que la 5ième édition est sorti il y a 2 mois 🙂

C’est avec nostalgie que, hier soir, je me suis replongé 9 ans en arrière. Et j’ai déniché quelques petites perles de l’époque, qui montre la gourmandise exponentielle des logiciels :

page 31 :

Linux nécessite très peu de mémoire vive en comparaison d’autres systèmes d’exploitation moderne. Cela dit, si 4 Mo de RAM suffisent en principe, il est fortement recommandé d’ne posséder au moins 8.

page 32-33 :

La quantité d’espace disque requise dépend dans une large mesure de vos besoins et des programmes que vous comptez installer. Linux est assez peu encombrant ; il est en théorie possible de l’installer sur 20 Mo d’espace disque. Mais pour travailler confortablement et prévoir l’avenir (emploi d’applications évoluées comme X Window…), il vous faudra davantage de place (80 à 100 Mo) sur le disque. »

page 51

Une zone de swap – fichier (voir p. 64) ou partition (voir p. 199) – peut occuper jusqu’à 256 Mo. Si vous avez besoin de plus de 256 Mo de swap (une folie !) vous pouvez créer jusqu’à 8 zones de swap différentes

Et dire que cela remonte à 9 ans. A l’époque, installer un Linux n’est pas aussi « pousse bouton » qu’aujourd’hui. Avoir des environnements de bureau comme Gnome ou KDE ? Un doux rêve, KDE était encore dans ses couches culottes, et Gnome par encore lancé 🙂

Cependant, une chose est restée vraie : avec deux Go (taille de base d’un Windows XP), avec une Ubuntu Linux, il y a aussi la suite bureautique, le lecteur audio et le lecteur vidéo, l’outil de retouche photo, bref, ce qui demanderait 1 bon Go supplémentaire sous Windows XP 😉

FreeSpire 1.0 : quel intérêt ?

Aujourd’hui (à moins que ce ne fut hier), FreeSpire (la version libérée de Linspire) a été publié. A l’image d’une distribution comme la Fedora Core, elle se base sur le principe : du logiciel libre, et rien que du libre.

Même si la philosophie de base est intéressante, la réalisation semble un peu… étrange. Déjà, la première version ne semble être disponible qu’en anglais (à moins que je n’ai pas trouvé l’option pour activer les traductions ?) et contient un cocktail un peu détonnant.

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