Oui, je suis d’accord, ce n’est ni une série, ni une émission mais ce film a tellement de fois été rediffusé sur les différentes chaînes de télévision qu’il fait partie de mes mémoires.
Nous sommes en 1980. Un jeune débutant, Daniel Auteuil incarne Bébel, forte tête dans une boite à bac connu pour ses résultats médiocres, le cours Louis XIV qui affiche un zéro pointé au bac en terme de réussite.
Avec les autres cancres de la classe de terminale, ils mènent la vie dure à Maria Pacome, la directrice qui n’hésite pas à investir dans la dernière nouveauté en provenance des États-Unis pour leur faire décrocher le bac, même contre la volonté farouche des élèves à ne rien vouloir apprendre.
Ce film est une vraie source à gags et à situations plus que comique. Que ce soit la bombe, la machine à apprendre, le professeur de sport qui ressemble à un gorille de boite de nuit, les crasses faites à la fille de la directrice, on n’arrête pas de rire. Sans oublier l’élève qui couche avec tous les garçons de la classe, si possible en plein cours…
Je dois dire que la machine à apprendre, donneuse de gifles et d’uppercuts, est un de mes moments préférés.
Vous comprenez pourquoi, maintenant ?
Je vous laisse (re)découvrir ce classique du début des années 1980. Sa suite, « Les sous-doués en vacances » n’est pas aussi bonne, c’est même de mon point de vue, un ratage complet.
Hello, la scène de l’examen final (le bac) est fantastique également, le doigt en plastique, la chaussure dictionnaire, les codes en tamtam…
En 82 est sortie une copie beaucoup moins drôle à mon gout : Les diplômés du dernier rang https://www.youtube.com/watch?v=jmvYPkvdS0o.
Je suis en complet accord ici. Dommage qu’il y ait eu « Les sous-doués en vacances » qui est une sombre daube.
À l’époque de ses premières diffusions, ce film me faisait rire, on se rejouait les scènes à la récréation. J’en ai revu une partie il y a quelques années… j’ai compris alors que j’avais vieilli et que mes standards avaient bien changé. C’est un peu la même chose qu’avec les films des Charlots, même si je concède à certains de ces derniers le mérite d’être le miroir de leur époque (Le Grand Bazar notamment).
Reste à savoir qui a mal vieilli : eux ou moi ? ^^