J’ai reçu ce matin, près de 6 semaines après l’avoir commandé en Australie le dernier opus solo de la voix féminine des Dead Can Dance.
L’album, fourni sous la forme d’un digipak contient, en plus du CD, un petit encart cartonné, avec d’un coté un texte, et de l’autre une photo de dos de Lisa Gerrard.
Cet album me fait penser à un mélange de « The Silver Tree » (pour les pistes spirituelles, voire ethérée) et de « Duality » pour les morceaux un peu plus rapides, comme « Tell it from the moutain », « The Crossing » ou encore « Black Forest ».
Rien à jeter, même si je n’en suis qu’à ma première écoute de l’album… 50 minutes de pur bonheur…
J’ai franchement apprécié le mot contenu sur l’encart cartonné :
Thank you for supporting us in our new journey.
Your encouragement goes deeper than our connection to one another. Your integrity had helped continue the movement towards creative independance that can only be achieved through uncensored expression.My expression to you is my music and I pray that it is a release for you, an awakening to enlightenment and mutual respect for all life forms.
Stay well.
Ce qui donne traduit :
Merci pour votre soutien dans notre nouveau voyage.
Votre encouragement va plus loin que nos interconnexions. Votre intégrité a aidé à la continuation d’un mouvement vers une indépendance créatrice qui ne peut être atteinte qu’au travers de l’expression non censurée.Mon expression envers vous est la musique et je prie pour que ce soit une libération pour vous, un éveil à la lumière et au respect mutuel de toute forme de vie.
Portez-vous bien.
Cela fait chaud au coeur, et cela change des insultes habituels des « artistes » qui conchient les auditeurs qui n’ont pas acheté leur dernières galettes. Pour finir, quelques photos.
Désolé, mais la qualité n’est plus trop au rendez-vous… Et acheter un appareil photo numérique neuf, ce n’est pas au summum de mes priorités actuellement.