En 1973, sort un film avec Christopher Lee et Edward Woodward : « The Wicker Man. »
Conseillé par une de mes collègues de travail – qui a une culture cinématographique qui m’étonne toujours – j’ai été accroché de la première à la dernière minute. Mais rien ne vaut le résumé du film :
Sur une île de la Manche où d’ordinaire rien ne se passe, des disparitions d’enfants finissent par alerter la police. L’enquête met au jour des évènements étranges. La population semble se livrer à des cérémonies d’un autre âge.
J’ai été envouté par le film, et durant tout le film, on ne sait sur quel pied danser. Avec un jeune Christopher Lee (débarrassé de son rôle de Dracula) et un Edward Woodward qui joue un policier au raisonnement froid, on est pris entre deux feux.
Qu’est-ce qui est vrai ? Qu’est-ce qui est faux ? Et qui est donc cet homme d’osier (traduction littérale de « Wicker Man »).
A voir pour se changer un peu des daubes actuelles produites par brouettes entières.