En vrac’ rapide et libre du trolldi ;)

Comme on est vendredi – trolldi en culture geek – un petit en vrac’ rapide et libre qui essayera de ne pas suivre la tradition de la journée du vendredi.

J’allais presque oublier, une excellent vidéo de Cyprien sur la mode du Geek, histoire de remettre les points sur les « i » et les barres sur les « t ».

Voila, c’est tout pour ce matin 😉

Mate, environ 18 mois après son annonce : échec et mate ?!

Mate, le fork de Gnome 2 est né de la volonté d’un utilisateur d’Archlinux de continuer à faire vivre l’ancien code de Gnome.

Environ 18 mois après, où en est-il ? La version 1.4.0 est sortie en juillet dernier, intégré dans un nombre croissant de distribution (Linux Mint, SalixOS, openSuSE, en cours pour Mageia).

J’ai donc pris une archlinux virtualisée – autant reprendre l’environnement qui a vu la naissance du fork – et installé la dernière version en date.

[fred@fredo-arch ISO à tester]$ qemu-img create -f qed disk.img 128G
Formatting ‘disk.img’, fmt=qed size=137438953472 cluster_size=65536 table_size=0
[fred@fredo-arch ISO à tester]$ kvm64 -hda disk.img -cdrom archlinux-2012.10-1-archboot-dual.iso -boot order=cd &

L’installation se fait en deux étapes, en partant d’une archlinux avec Xorg installé et configuré. J’ai aussi rajouté Gimp, Mozilla Firefox et LibreOffice 😉

On rajoute le dépot dédié en tête de liste dans le fichier /etc/pacman.conf


[mate]
Server = http://repo.mate-desktop.org/archlinux/$arch

Puis avec la ligne de commande :


yaourt -S mate mate-extras

Installation du groupe Mate

Installation du groupe Mate - suite

Pour le gestionnaire de session, j’ai installé LightDM, lxdm refusant de se lancer ?! Le gestionnaire de connexion MDM (utilisé par la version Mint de Mate) est indisponible sur les dépots pour archlinux. On arrive sous Mate 1.4.2 lors du chargement de l’environnement.

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Quand Tom’s Guide joue le sensationnalisme et désinforme involontairement.

C’est officiel : il n’y a plus de version 64 bits pour le navigateur Mozilla Firefox, dixit un article de Tom’s Guide, au titre suffisamment clair : « Mozilla abandonne Firefox 64-bit »

Or, l’article est trompeur à plusieurs titres. Car nulle part, il n’est précisé que cela ne concerne que la version pour Microsoft Windows qui est concernée, nullement celle pour les distributions GNU/Linux ou encore MacOS-X qui depuis sa version 10.4 alias Tiger ou 10.5 alias Leopard est purement 64 bits.

En effet, l’article se base sur un fil initié par Benjamin Smedberg dont le titre est clair pour qui sait lire : « Turning off win64 builds », qu’on peut traduire : « Arrêt des compilations win64 ». Nulle autre architecture n’est concernée.

Les justifications sont l’absence de greffons en 64 bits, plantage plus fréquent, bugs difficilement reproductibles, bref ce qui a ralenti l’adoption des OS 64 bits depuis des années.  Même si j’avais constaté du progrès comme résumé en décembre dernier.

Pour faire un résumé rapide : oui, il n’y aura pas pour le moment de version 64 bits de Mozilla Firefox pour la plateforme Microsoft Windows. Et uniquement elle !

Tom’s Guide a donc volontairement oublié 12% du marché de l’informatique, à savoir l’univers du Mac (qui a du matériel proche du PC au final), et les péquins libristes qui peuvent avoir une version 64 bits du navigateur de la Fondation Mozilla.

Installer et utiliser Gnome Boxes sur Archlinux.

La présence de Gnome Boxes (alias Machines) sur la version béta de la Fedora Linux 18, j’ai voulu tester le logiciel sur Archlinux. Cela a nécessité la compilation et l’installation de : celt0.5.1, cegui-0.6, libcacard, spice-protocol, spice, usb-redir, spice-gtk3, libvirt-glib, libosinfo, gnome-boxes

Sans oublier le paquet qemu-kvm-spice pour l’émulation. Une fois tout installé, il est simple de configurer une nouvelle machine virtuelle. Les disques virtuels OS sont stockés dans ~/.local/share/gnome-boxes/images.

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Et la bêta de la Fedora Linux 18, ça donne quoi ?

Ah, la Fedora Linux 18, celle qui restera dans l’histoire de la distribution comme la version « Duke4Ever ». Entre les retards successifs de la version alpha, puis de la version béta, la version finale ne pointera pas le bout de son nez avant le début de l’année 2013, alors qu’elle aurait du sortir ce mois-ci.

D’ailleurs, je me suis basé sur une préversion quasi-finale de la version bêta, qui doit sortir le 27 novembre, sauf nouveau report de dernière minute.

[fred@fredo-arch ISO à tester]$ wget -c https://dl.fedoraproject.org/pub/alt/stage/18-Beta-RC1/Live/x86_64/Fedora-18-Beta-x86_64-Live-Desktop.iso
–2012-11-21 11:18:00– https://dl.fedoraproject.org/pub/alt/stage/18-Beta-RC1/Live/x86_64/Fedora-18-Beta-x86_64-Live-Desktop.iso
Résolution de dl.fedoraproject.org (dl.fedoraproject.org)… 209.132.181.23, 209.132.181.27, 209.132.181.26, …
Connexion vers dl.fedoraproject.org (dl.fedoraproject.org)|209.132.181.23|:443…connecté.
requête HTTP transmise, en attente de la réponse…200 OK
Longueur: 824180736 (786M) [application/octet-stream]
Sauvegarde en : «Fedora-18-Beta-x86_64-Live-Desktop.iso»

100%[======================================>] 824 180 736 861KB/s ds 17m 1s

2012-11-21 11:35:02 (788 KB/s) – «Fedora-18-Beta-x86_64-Live-Desktop.iso» sauvegardé [824180736/824180736]

J’ai ensuite lancé mon ami VirtualBox pour voir ce qui nous attend avec la Fedora Linux 18, du moins dans son étape bêta.

La très décriée nouvelle génération d’Anaconda a été simplifiée en étant aussi plus rapide. En seulement 10 minutes, l’ensemble est disponible. Fallait compter au moins le double à l’époque de la version alpha, testé en septembre dernier.

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Après les logiciels, la musique et les films, au tour…

…de la BD sous licence Creative Commons / Art Libre.

Hier, j’ai reçu le 4ième tome en format papier des aventures de Geektionnerd, dessiné par Simon « Gee » Giraudot.

Avec un tracé simple en noir et blanc, les tribulations du geek, de son colocataire et de la geekette (qui a un caractère assez… féminin) sont l’occasion de rire du monde des geeks tout en emprutant leurs codes.

Presque à chaque page, que même les non-geeks peuvent apprécier, les clins d’oeil à l’informatique – et vu surtout que l’auteur porte Java dans son coeur, sans oublier les traits typiques de la vie estudiantine.

Gknd, les 4 tomes

Le dernier tome en date nous permet aussi bien de rire que de réfléchir.. Surtout dans la partie centrale de l’histoire. Je ne vais pas vous spolier le plaisir de découvrir cette série dont même la couverture est très geek, spécialement le tome 4 🙂

Vous pouvez lire chaque tome en format électronique, mais faites une bonne action. Le format papier est tout aussi agréable à lire, et les tomes ne sont pas excessivement cher, 12 € le volume. Allez donc vous trouver une BD à moins de 12 € de nos jours…

Il suffit d’aller sur la boutique « En Vente Libre », section livres pour le commander

En vrac’ rapide et libre pour commencer la semaine.

Un petit en vrac’ pour un lundi de novembre.

Voila, c’est tout pour ce lundi matin ! Bonne journée 😉

Coups de coeur musicaux, mon « top » de l’années 2012, deuxième partie.

Voici donc la deuxième partie. Légèrement plus remplie que la première partie 😉

On commence avec du bon gros rock psychédélique aux influences typique des années 1970, j’ai nommé Yes ou encore King Crimson, sans oublier Jethro Tull avec Trojan Horse.

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Coups de coeur musicaux, mon « top » de l’années 2012, première partie.

Cette année, j’ai eu pas mal de coup de coeurs musicaux, et j’ai voulu prendre le top du top. Voici donc un rapide article qui vous fera découvrir certains groupes et artistes.

L’article sera en deux parties : De janvier à juin et de juillet à novembre.

Hudson : un groupe qui propose du folk-rock assez efficace, en partant d’un concept simple : on s’enferme durant une semaine pour composer, interpréter et enregistrer l’album.

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OS4 OpenDesktop, la distribution GNU/Linux pour une utilisation « simplifiée » ?

OS4 OpenDesktop, c’est encore une distribution GNU/Linux, dont le crédo est, je cite :  » It aims for ease of use and user friendliness and falls into the line of what we call « simplified computing » ce qu’on peut traduire par : « Elle vise la simplicité d’utilisation et la convivialité pour tombé dans ce que nous appellons « l’informatique simplifiée ». »

Et malgré que le nom lui ressemble un peu, ce n’est pas vraiment le descendant du vénérable et malheureux concurrent de Microsoft Windows, OS/2 d’IBM.

Basée sur une Xubuntu Linux 12.04.x LTS, elle reprend en partie une interface assez connue par les vieux de la vieille, j’ai nommé l’interface de NeXT.

Dès l’installation, on peut comprendre que simplifiée veut dire très gourmande : pas moins de 7 Go sont demandés dès le départ. Et pour cause. Tous les outils possibles et imaginables sont préinstallés. Autant dire, qu’en dehors des mises à jour, il n’y a pas grand chose à rajouter.

On trouve de tout : de quoi faire des retouches photos, de quoi programmer, faire de la navigation web, bref, il n’y a que l’embarras du choix. La gestion des logiciels passe par Synaptic.

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